Café Mortel/French-Speaking Death Café
En 2004, Bernard Crettaz créa le premier café mortel, un concept de lieux de rencontre et de discussion informels pour ceux qui veulent parler de la mort. Développés par Jon Underwood quelques années plus tard, les cafés mortels, ou aussi, Death cafes, ont maintenant lieu dans plus de 80 pays.
Durant la pandémie, les rencontres virtuelles sont permis de continuer ces rencontres.
Notez : Les participants peuvent échanger des idées sur la mort confortablement et authentiquement, dans un espace respectueux et confidentiel. Les cafés mortels ne sont pas des groupes de soutien ou de counselling pour le deuil, et qu'il n'y aura aucune représentation de services commerciaux ou spirituels.
About the host: Stéphanie Rouet knows that change is a fact of life. Having lived in five different countries and worked in various entertainment and social services, connecting with people is the keystone of her career. Her work as a social worker in dementia care incited her to reflect about end-of-life experiences for long-term care residents and families. Becoming a death doula was a natural way to instigate changes. The challenges are vast, and the conversations are so fascinating, so the death cafes are an excellent way to gather people and talk. We all get to die, but Stéphanie is hoping that we can all go through this transition with grace and feeling loved.